En tant que future enseignante, la réussite scolaire me tient beaucoup à coeur. Dans le cadre d'un cours Universitaire, j'ai effectué une recherche sur le sujet qui, à la fois m'intriguait et m'intéressait. Comme j'ai l'habitude de le faire sur ce blogue, je vous fais part de ma vision et de ma compréhension.
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Ces dernières années se
sont enchaînées des réformes scolaires ayant comme objectifs l'amélioration du
système éducatif et, par le fait même, le maintien des élèves sur les bancs
d'école. Elles ont apporté beaucoup de changements, mais semblerait-il qu'elles
n'ont montré que très peu de résultats positifs. Selon les médias, le
décrochage scolaire connaît une augmentation avec les années et l'indifférence
des jeunes face à l'éducation et la connaissance s'accroît.
Les données publiées dans les Indicateurs de l'éducation, édition 2011, montrent une baisse du taux de décrochage entre 1991 et aujourd'hui, pour les trois catégories d’âges pour lesquels on compile des données. Bien qu'on observe une amélioration, l'objectif consiste à réduire davantage ce fléau qui affecte notre société. Il ne faut pas oublier de mentionner qu'aujourd'hui, comparativement aux années 50 où il était fréquent de quitter l'école pour aller travailler afin de venir en aide à sa famille, les choses ont bien changé. Effectivement, de nos jours, les familles ont pour la plupart un meilleur revenu et les bons emplois requièrent au minimum un secondaire 5 ou encore, un diplôme d'études professionnelles.
Alors, il nous est permis de croire que la situation sur le marché du
travail des jeunes qui n'ont pas terminé leurs études secondaires diffère de
celle des jeunes qui ont décroché leur diplôme. Cela démontre une réalité
scolaire inquiétante pour les adolescents qui n’ont pas complété leurs études.
Dans une société comme la nôtre où la technologie évolue rapidement et les
demandes du marché de l’emploi sont de plus en plus axées sur des compétences
spécifiques, les
performances du système d’éducation sont mesurées. Aussi, comme la société
actuelle est dirigée par l’économie et prône donc une idéologie de performance,
cela met énormément de pression sur l’école et ses étudiants qui, pour réussir,
doivent favoriser prioritairement l’excellence.
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